30.3.06

Castro président...

L'architecte Roland Castro, candidat à la présidentielle de 2007, a accusé jeudi le gouvernement d'avoir commis un "forfait" en instituant le CPE, notamment parce que la mesure ne figurait pas dans le programme de Jacques Chirac en 2002. Lors d'une conférence de presse, le président du Mouvement de l'utopie concrète a dénoncé "une mesure anxiogène", "non prévue dans le programme de Jacques Chirac et peu conforme aux 82% de ses votants" du deuxième tour de 2002. Roland Castro, qui emploie dans son atelier d'architecte 25 salariés, a ajouté qu'il n'avait "jamais employé quelqu'un pour l'observer pendant deux ans". Evoquant la présidentielle, M. Castro a regretté que la gauche ne l'ait "pas invité" à ses récentes réunions unitaires. Il a proposé que "les partis de gauche, les gaullistes égarés" (qu'il n'a pas identifiés), "les syndicats et les associations" créent ensemble un "Lieu unique pour élaborer un projet commun" visant à "refaire la société". Il s'est dit favorable au "vote des étrangers" et au "service civique obligatoire pour les garçons et les filles de 18 ans" pour empêcher le communautarisme et "l'apartheid urbain". M. Castro, qui continue de mener campagne pour obtenir des parrainages, a affirmé avoir déjà recueilli plus de 70 signatures sur les 500 requises. Il a souligné toutefois qu'il ne "s'obstinerait pas" à maintenir sa candidature s'il se rendait compte, au regard des sondages, qu'elle aboutirait à un nouveau 21 avril 2002, où la gauche avait été évincée du 2e tour de la présidentielle au profit du leader du FN, Jean-Marie Le Pen.

Encore une fois, Gaudin ne comprend rien à l'architecture !

28.3.06

Rennes s'offre un complexe culturel


D'un coût de 105 millions d'euros, le bâtiment, conçu par Portzamparc, rassemble des services déjà existants.
Maintes fois repoussé, le jour tant attendu est arrivé. L'ambitieux complexe culturel rennais des Champs-Libres, réunissant bibliothèque, musée de Bretagne et centre de culture scientifique et technique, ouvrira ses portes au public mardi. Que faut-il en penser ? Ou, plus crûment, à quoi ça sert ? A la première visite, l'impression est mitigée. Le bâtiment, signé Christian de Portzamparc, ne manque pas de caractère, mélangeant formes, matières et espaces avec audace, voire témérité.

Pyramide. Partant du principe qu'il fallait que «chacun ait sa maison» tout en créant une unité, le concepteur de la Cité de la musique à Paris a réuni trois formes pour les trois institutions présentes. Une pyramide de verre inversée haute de 35 mètres pour la bibliothèque, un cône coiffé d'un dôme recouvert d'écailles de zinc pour l'espace des sciences, ces deux entités traversant la troisième : un large parallélépipède rectangle «flottant au-dessus du rez-de-chaussée», où sont déployées les collections du musée de Bretagne.

Cet étonnant pari architectural en éclipserait presque le contenu. Celui-ci réserve moins de surprises, n'était un petit joyau muséographique situé au sixième étage de la bibliothèque (avec vue imprenable sur la tour de la Sécu) : les collections de l'écrivain Henri Pollès, dont les pièces de la maison-musée ont été fidèlement reconstituées. Du bureau à la chambre chinoise, jusqu'à la salle de bains 1920, ce n'est que profusion de livres, cartes postales, collages, statuettes et autres bibelots composant un véritable hymne, à la fois romantique et surréaliste, à la gloire de la littérature et du monde des arts du deuxième tiers du XXe siècle.

Autre point fort : le parti pris de placer dès le rez-de-chaussée une bibliothèque pour la jeunesse et le Laboratoire de Merlin qui, avec une trentaine de manipulations, permet d'ouvrir ses sens à des phénomènes physiques simples.

L'espace transversal dédié à l'histoire de la Bretagne, du paléolithique à nos jours, est plus inégal. Et le «parcours ouvert tel une promenade dans la ville» imaginé par Elizabeth de Portzamparc, épouse de l'architecte, mélangeant niches didactiques et présentation d'objets, ne convainc pas toujours, notamment dans sa partie la plus contemporaine retraçant les us et coutumes de la région sous forme d'un tracteur ou de filets de pêche. A noter un espace consacré à l'affaire Dreyfus dont le procès en révision eut lieu à Rennes en 1894.

A l'aise. Pour le reste, à l'étroit dans ses anciens locaux, la bibliothèque municipale trouve ses aises sur les six étages de la pyramide. Mention spéciale également à l'exposition permanente de l'Espace des sciences, consacrée à l'histoire géologique de la région, avec dent de requin géant et tête de fémur de mammouth retrouvée au mont Dol.

Mais fallait-il dépenser autant (105 millions d'euros) pour un équipement qui ne fait que rassembler des services déjà existants ? Les avis resteront sans doute partagés. En tout état de cause, comme l'a souligné Edmond Hervé, maire de Rennes depuis 1977 et président de l'agglomération, une «période de rodage» sera nécessaire pour que le public s'approprie ce bâtiment aux proportions intimidantes. Avec le métro Val, inauguré en 2002, ce sera une des plus importantes réalisations de ses différents mandats.
Par Pierre-Henri ALLAIN
samedi 25 mars 2006
Et à Marseille... rien !

23.3.06

Trop moche architecture marseillaise

Les buses d'or (suite...)
Vous avez été très nombreux à nous demander des photos des quatre nominés, alors les voilà :


Les archives et la bibliothèque départementales, par Vezzoni pour le Conseil Général des Bouches-du-Rhône nominée pour sa forme incroyable et la qualité des matériaux !

La gare Maritime par Lanoire et Courrian pour le Port Autonome de Marseille nominé pour s’être montré à la "hauteur" de son site et pour ses accès qui s'annoncent déjà très pratiques !

L’immeuble de logements 214-216 avenue du Prado par Poissonnier et Ferran, pour Kaufman and Broad nominé pour la générosité des ouvertures et la subtile utilisation de la pierre!

Le collège Jean-claude Izzo, par Lacube et Redondo pour le Conseil Général des Bouches-du-Rhône nominé pour le nombre exceptionnel de matériaux utilisés et l'imaginaire portuaire assumé !

Allez vite, il vous reste quelques jours seulement pour vous exprimer et choisir le "vainqueur"...

Quelles sont les orientations prises par la création architecturale ?

Voici une proposition de classement de la création architecturale contemporaine trouvé sur le site archicool.com.
Comme tout classement, il n’est valable que tant que l’on peut y faire entrer l’ensemble des protagonistes.
Première tendance “Le pinacle de l’inutile.” C’est joli, mais c’est de la frime gratuite !
Première tendance, le dépassement technologique et l’industrialisation des matériaux du bâtiment, ajoutés à l’ambiguïté de la maîtrise d’ouvrage d’équipements publics et privés, voulant se démarquer par une spectacularisation médiatique de leurs édifices. C’est l’ère du pinacle de l’inutile, du porte à faux outrancier, et de la course à la hauteur sans fins. Le programme, est un prétexte à l’événement qui consiste à appliquer, le premier, les possibilités techniques de nouveaux matériaux.
Deuxième tendance; “ les plus jolis boîtes du monde.” Ici, pas de revendication sociale ou démonstratrice, simplement la volonté de dessiner le plus bel emballage du monde, cette tendance servie par de véritables Stradivarius de l’architecture, dont certains numérotent leurs bâtiments comme d’autres inventorient les oeuvres des musiciens. Il s’agit donc d’une revendication d’artisanat du luxe, du luxe du packaging. Tendance aussi amorale ( le programme importe peu) que la première, mais plus inoffensive, plus neutre.
Troisième tendance, “les expériences uniques,” qui transforment la vie de ses spectateurs. Les oeuvres qui visent à établir un avant, et un après. Ces oeuvres, prennent en compte l’environnement historique vécu. Elles écrivent des pages du temps présent de l’architecture. Au risque de prendre la place des historiens. Puisque de manière à peine déguisée, leurs auteurs revendiquent eux mêmes, d’être l’histoire de l’architecture, et de la décréter.
Quatrième tendance. Les marqueurs “sociologiques”. Ils utilisent l’architecture comme marqueur d’une théorie sociale ou contemporaine, de la ville, de l’urbanité, du devenir du genre humain dans le genre urbain. Sans doute la tendance la plus intéressante, parce qu’elle investit et transgresse les autres disciplines allant de l’économie à la sociologie. A l’heure de la mondialisation, on y trouve donc, par exemple, l’application du “générique.” A la fois constat, avertissement, et marquage, stigmatisation d’une réalité. Une mise devant le fait accompli.
Autant les trois premières tendances visent la contemplation, et l’exploitation médiatique d’oeuvres objets, sans questionnement social et philosophique. Autant la quatrième tendance provoque le débat de société. elle est donc la seule réellement contemporaine.

22.3.06

Bouygues, Eiffage et Vinci punis. A quand le ménage dans les BDR?

Mais, qu'est-ce que c'est que ça? Alors on se fait du
beurre sur le dos du contrbuables? Pas bien ça.

34 entreprises de BTP sanctionnées pour entente.
ans une décision publiée mercredi 22 mars, le Conseil
de la concurrence a infligé une amende de 48,5
millions d'euros à trente-quatre entreprises du
bâtiment et travaux publics (BTP) d'Ile-de-France. Les
trois principales, Bouygues (10,5 millions d'euros),
Vinci (6,62) et Eiffage (2,43), sont - directement ou
via leurs filiales - les plus sévèrement sanctionnées,
le conseil les considérant comme les organisatrices de
cette "entente généralisée".

Les faits, qui remontent à la période 1991-1997, ont
consisté à se partager d'importants marchés de travaux
publics, comme la construction du RER E ou de la ligne
14 du métro, les travaux du syndicat
interdépartemental d'assainissement de l'agglomération
parisienne (Siaap), la couverture de l'autoroute A1,
etc. " Le partage reposait sur un système
particulièrement élaboré de répartition (...), avec la
comptabilisation des avances et retards de chaque
entreprise, des systèmes de compensations", souligne
le communiqué, qui condamne l'utilisation d'un
logiciel spécifique baptisé Drapo. Le conseil estime
le préjudice à environ un milliard d'euros.

Ces pratiques avaient fait l'objet de procédures
pénales, qui n'ont pas abouti en raison de la
prescription de l'action publique. Le conseil s'est
alors auto-saisi et a pu récupérer une partie du
dossier pour démonter ces ententes.

Face à la gravité des pratiques révélées par
l'enquête, les amendes peuvent paraître légères (en
regard des 534 millions d'euros auxquels ont été
condamnés, en novembre 2005, les opérateurs de
téléphone mobile). Elles correspondent au maximum
prévu à l'époque des faits par la loi qui, avant 2001,
plafonnait les amendes à 5 % du chiffre d'affaire
national. Depuis, la loi sur les nouvelles régulations
économiques (NRE) a porté le plafond à 10 % du chiffre
d'affaire national ou international. Le secteur du BTP
a été, en 2005, épinglé à sept reprises par le conseil
de la concurrence.

(source Le Monde)

20.3.06

Les déboires de l'"expo Villepin", prévue au Grand Palais

Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas, hein Dominique ?
EXPOSITION "LA FORCE DE L'ART"
Le 10 octobre 2005, inaugurant la Foire internationale d'art contemporain (FIAC), le premier ministre, Dominique de Villepin, avait annoncé avoir chargé le ministère de la culture et de la communication d'"organiser au Grand Palais une grande exposition consacrée aux artistes français contemporains" afin de "donner une nouvelle visibilité à la création française". Baptisée "La force de l'art", cette exposition doit avoir lieu sous la verrière du 9 mai au 15 juin. Elle pourrait être la première édition de ce qui serait appelé à devenir une triennale, dont les éditions suivantes ne se tiendraient pas nécessairement au Grand Palais.
Le commissariat général de "La Force de l'art" a d'abord été proposé à Jean-Louis Froment, ancien directeur du Centre d'arts plastiques contemporain (CAPC) de Bordeaux, qui a décliné l'offre en raison de la brièveté des délais. Catherine Millet, directrice de la revue Art Press, a refusé pour la même raison.
Olivier Kaeppelin, qui dirige la délégation aux arts plastique du ministère de la culture, a alors opté pour la solution collégiale. Il a désigné quinze commissaires, chacun ayant l'entière responsabilité d'un espace de 400 m2. Ces commissaires sont des responsables d'institutions, des conservateurs, des critiques, tels Paul Ardenne, Richard Leydier ou Eric Troncy.
On y trouve aussi un artiste, Xavier Veilhan, qui concevra un espace pour une histoire de la statuaire qui commencerait à Louis XIV.
Les femmes sont très minoritaires - trois sur quinze -, les étrangers absents, à l'exception de Lorand Hegyi, directeur hongrois du Musée d'art moderne de Saint-Etienne. La répartition a cherché un équilibre entre les générations et entre les préférences artistiques.
DANS L'URGENCE
Un "comité de réflexion" où figurent Catherine Millet, Patrick Bongers (président du Comité professionnel des galeries d'art) et Henry-Claude Cousseau (directeur de l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts) a été adjoint aux commissaires. La sélection est annoncée comme "évidemment pas exhaustive". Ces précautions n'ont pas empêché le début d'une polémique, entretenue par les rumeurs d'absence d'artistes renommés : Sophie Calle, Martial Raysse, Claude Viallat ou Raymond Depardon. Des listes d'élus et d'exclus circulent, ainsi que des chiffres : cent soixante-dix artistes auraient été retenus, il y aurait cinq ou six oeuvres produites pour l'occasion. Une première réunion des commissaires doit avoir lieu le 23 mars.
La date est tardive, pour une exposition censée ouvrir un mois et demi plus tard. D'autres données sont aussi surprenantes. Des 2 millions d'euros prévus au budget, 600 000 font encore défaut aujourd'hui. Ils devraient être donnés par des mécènes. La production de la manifestation a été confiée à la Réunion des musées nationaux, contrainte de travailler dans l'urgence et dans un domaine - l'art actuel - dont elle n'est pas spécialiste.
En s'installant au Grand Palais, "La force de l'art", vite surnommée "expo Villepin", s'inscrit dans la filiation de l'"expo Pompidou" : en 1972, soixante-douze artistes avaient été réunis à l'initiative du président de la République d'alors. Elle a laissé un grand souvenir en raison des polémiques qu'elle avait suscitées et d'une inauguration sous la surveillance des CRS.
Philippe Dagen
(source Le Monde)

19.3.06

Ironique CPE !

Les architectes marseillais sont-ils contre le CPE ?



Certainement, car pour des architectes, apprentis patrons, habitués depuis des lustres à employer des petites mains Freelance ou des étudiants stagiaires très très longues durées dans des zones franches, le CPE représenterait presque un progrès social sortant du Moyen-âge les rapports sociaux dans l'architecture !!!

16.3.06

Next !

Xavier Babikian, nouveau président du Syndicat des Architectes des Bouches-du-Rhône...
Félicitations, et maintenant :
Nouvelles générations ? Nouvelles envies ? Nouveaux horizons ?
à suivre...

6.3.06

Benvenuto Massimiliano !

C’est l’équipe composée de Cogedim – Fuksas – Desvignes – Mathoulin – AB - Leroux - Crédit Agricole qui a été retenue pour réaliser le projet Euromed Center, situé au nord du quartier de la Joliette, à Marseille et qui comporte un ensemble hôtel/centre de convention 4 *, environ 45 000 m² de bureaux, un cinéma multiplex ainsi que des commerces en liaison avec un parc urbain de plus d’1 hectare de superficie. Cette équipe aura pour mission de réaliser l’ensemble architectural et de coordonner la programmation entre les différents équipements. Cette opération représente 300 M€ d'investissements privés, le projet final devrait être livré en 2008.Lors de la phase précédente, en novembre 2005, outre l’équipe Cogedim/Crédit Agricole, les équipes qui avaient été présélectionnées étaient : Vinci -J.-P.Viguier-Vezzoni-Archimed-Niez-Schmidt - Carlyle Group et Icade - Dusapin-Leclerq-Mateo-Marciano-Mazas - CDC-Icade Pimonts.


« Nous nous sommes interrogés sur notre capacité à instaurer un dialogue avec ce site reçu en héritage. La ville environnante nous a inspiré : Un grand mélange de formes, de choses, de personnes, de possibilités, d’architectures souvent régies par la discordance.La stratification et la complexité des styles et des modes de vie créent la magie de la discordance. La ville est perçue comme un monde en perpétuel mouvement où rien ne doit jamais s’arrêter. La mobilité des personnes, la permanence de la communication, l’évolution continuelle de la perception de l’environnement, sont des vecteurs qui façonnent la ville et qui participent à l’urbanité vécue et projetée.
Mais, au-delà de la réalité, au-delà des contraintes, il faut doter un projet d’une dimension poétique.L’idée formelle régissant notre intervention est de traduire le mouvement, le devenir d’une ville à travers la manipulation des volumes de ses bâtiments, comme dans une recherche d’un jeu spasmodique avec la lumière.
De ce jeu émergent des volumes, ou plutôt des masses, comme érodées par l’eau et par le vent. Les bâtiments que nous avons conçus sont faits non pas pour être contemplés mais pour être parcourus comme des morceaux de ville. Nous avons, dans le respect des surfaces demandées et des limites de hauteur des bâtiments imposées par le PAZ, travaillé sur la création d’un véritable signal urbain, en réponse aux volumes du silo.Les bâtiments prennent pied sur un sol largement occupé par la végétation et ponctuée d’eau. Ce sol se densifie vers le minéral, là où les besoins en trafic sont les plus importants. Les arbres, la végétation et l’eau participent au microclimat qui apportera de la qualité de vie au quotidien. »
« Dans cette ville éternelle, dans toute sa complexité, avec ses tensions, ses contradictions, son passé et son avenir, il y a une magnifique matière pour doter ce lieu d’une nouvelle géographie porteuse d’une nouvelle identité. L’architecture est aussi émotionnelle. Car elle se préoccupe de l’homme, puis de son économie. La réalité est la conjugaison des deux. Le résultat est la géographie. La première chose que doit faire un architecte est de fabriquer un paysage, une géographie, car c’est la géographie qui dote le lieu physique de son identité.La réponse du projet dans ce cas ne peut pas être de l’ordre du « design » ou du «maquillage» urbain.L’étude de son fonctionnement, le positionnement de ses accès, son orientation urbaine, sa lisibilité morphologique sont des enjeux importants afin que ce quartier ne soit pas conçu comme un énième îlot isolé et introverti qui se juxtapose ou s’ajoute à la ville, mais qu’il devienne un véritable « générateur d’urbanité ». La complémentarité, voire la complicité entre les espaces extérieurs et intérieurs est primordiale. Ce sont ces cheminements verdoyants qui guident les visiteurs et les utilisateurs vers les différents bâtiments, vers les différents lieux d’activité. Les halls des immeubles de bureaux, le lobby de l’hôtel, l’accueil du Centre de Convention ou encore le hall d’accueil du multiplexe relient le Boulevard de Dunkerque au mail et au Jardin d’Arenc. »
(M. Fuksas)

Plus d'images, là :

http://www.europaconcorsi.com/db/pubrec/architecture.php?id_scheda=3968&idimg=24116

1.3.06

Et pendant ce temps là à Marseille...

Et pendant ce temps là à Marseille... on détruit des cabanons !
Plus de Flots Bleus... une petite larme, un peu de nostalgie, allez zou, une photo souvenir !
Oh Zizou, que font-ils de ta ville ?